D’après Joseph Bancel (Histoire de St Julien-Molin-Molette), il y aurait eu ici, dans des temps très reculés, des foires dynamiques nécessitant un vaste espace pour le commerce des bestiaux. Mais aucun texte, ni aucun vestige archéologique ne confirment cette hypothèse. Autrefois l’orthographe était fluctuante : peut-être Marchamp (champ de Mars lieu d’une bataille ou champ de Marcius) ou Marchampt (comme le village de Marchampt – vigne de mauvaise qualité – cf marc – dans la partie non viticole du Beaujolais).